DOSSIERS URBEX : TEAM VIKING
Site internet de photographies d'urban exploration par le photographe professionnel Jack & Sirius (Jack L L Wood) accompagné des membres de sa team nommée "Viking".
La Lorraine 2014 - 2018
Les anciens bureaux
Exploration du 26 octobre 2014 + 21 mai 2020
HISTOIRE DU LIEU :
L’usine sidérurgique de *** est un complexe sidérurgique dans la vallée *** , situé sur plusieurs communes. Produisant essentiellement des produits longs en acier, l'usine a été, dans les années 1970, une des plus importantes usines sidérurgiques de la région,en complétant une autre usine sidérurgique, spécialisée sur les produits plats. Créée au début du xxe siècle par les allemands, soucieux de valoriser la minette, elle prospère jusque dans les années 1970 où, victime de la crise de la sidérurgie et de mauvais choix technologiques, elle décline inexorablement. En 2016, il n'y reste qu'un laminoir qui produit du fil machine et des barres.
état actuel: identique, le restant des bâtiments ont été rasés.
Le garage
Exploration du 26 octobre 2014
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue état actuel: bâtiment rasé en 2015
Honey Bee
Exploration du 14 avril 2015
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue, état actuel inconnu
La cabane dans les bois
Exploration du 14 avril 2015
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue, état actuel inconnu
Le chalet d'été
Exploration du 14 avril 2015
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue, état actuel inconnu
Le stand de tir
Exploration du 19 février 2015
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue
état actuel: identique
Le vieux bistrot
Exploration du 19 février 2015
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue
état actuel: identique
Le terrain militaire
Exploration du 14 avril 2015
HISTOIRE DU LIEU : La caserne AP, baptisée à l’origine Infanterie-Kaserne1, est une ancienne caserne d'infanterie allemande. Construite pendant l’annexion allemande, elle est aujourd'hui menacée de destruction par un projet immobilier spéculatif.
Contexte historique : Le Reichsland Elsaß-Lothringen, se couvre de fortifications, la ville se voit doter de cinq nouvelles casernes entre 1877 et 1914. Ces infrastructures militaires sont destinées à recevoir la garnison allemande du XVe Armeekorps, puis du XVIe Armeekorps, le 16e corps d'armée, dont le siège était dans une ville proche. Ainsi la Berg-Kaserne, la Ketzerrath-Kaserne, l' Infanterie-kaserne, l' Artillerie-kaserne et la Jäger-Kaserne verront le jour durant cette période. Un hôpital militaire, ou Militär-Lazareth, une intendance militaire, ou Proviantamt (1908) et un bureau des travaux militaires, ou Militärbauamt, viendront compléter ces infrastructures.
Construction et aménagements
À l’époque, elle est destinée à l'infanterie. Son coût est d'environ 1 750 000 Marks, une somme élevée pour l'époque. Composée de bâtiments de style wilhelmien, l'imposante caserne est fonctionnelle et spacieuse. Le site s’étend sur plusieurs hectares.
Affectations successives
En 1897, le 9e Régiment d'Infanterie lorrain n°173 appartenant à la 34e division d'infanterie, prend ses quartiers dans la caserne. Les bâtiments servent de lieu de casernement pour la Deutsches Heer jusqu’en mars 1919. Rebaptisée AP par l’armée française pour honorer le colonel Charles AP en 1870, la caserne conserve son affectation première jusqu'en 1999. Désaffectée, la caserne a fait l'objet d'une dépollution pyrotechnique en 2006. Rachetée par la Ville en 2008 pour un million d’euros, la caserne est aujourd'hui menacée de destruction par un projet immobilier spéculatif.
état actuel : terrain intérieur utilisé pour centre canin, les bâtiments états identiques
La baraque militaire
Exploration du 23 octobre 2015
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue, état actuel identique
Le fort perdu
Exploration du 10 janvier 2016
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue, état actuel inconnu
Les entrepôts militaires
Exploration du 10 mai 2016
HISTOIRE DU LIEU : Inconnue
état actuel: identique à la date du 14/06/18
Bureaux militaires
Exploration du 2 octobre 2016
HISTOIRE DU LIEU : L'ancienne cité militaire de la ligne Maginot et le fort du Kerfent, ayant livré combat en juin 1940.
état actuel : en rénovation pour en faire des appartements
Le mont st Q
Exploration du 27 octobre 2016
HISTOIRE DU LIEU :
Le groupe fortifié Saint-Q comporte deux ouvrages principaux reliés entre eux par deux branches de jonction bordés par un parapet d’artillerie. Ces deux gros ouvrages sont le fort D, rebaptisé Ott par les Allemands, et le fort M, rebaptisé par les Français fort G.
Le fort D fut construit par les Français de 1868 à 1870 pour un effectif de 617 hommes. Il possède une forme trapézoïdale (avec large côté vers l’Ouest) et un tracé bastionné. Ce fort comporte quatre bastions dont deux avec casemates d'artillerie et un autre avec une caserne d’infanterie. Le seul accès au fort passe par un pont-levis. Autour du fort se trouve un profond fossé taillé dans le roc et en partie maçonné. L’artillerie est disposée sur un cavalier en équerre, qui abrite une caserne à deux étages et un magasin à poudre. Ce fort était pourvu de 38 pièces. Parce que la pointe Ouest du mont n'était toujours pas protégée, les Allemands procèdent dès 1872 (de 1872 à 1898) à la construction du fort M. Ce fort est de forme pentagonale et entouré sur trois côtés d’un fossé taillé dans le roc. Ce fossé est défendu par trois coffres de contrescarpe (un double et deux simples) armés de canons revolvers. L'un d'entre eux est aménagé en sortie dans le fossé. Le fort est composé de trois casernes pour un effectif de 1800 hommes. Sur les remparts sont disposés un abri cuirassé d’observation modèle 1887 (très endommagé par les bombardements de 1944) et deux cloches de guet ainsi que les pièces d’artillerie et les abris de traverse. L’espace laissé vide entre les deux forts est puissamment organisé par les Allemands, ils y construisent : Une très grande caserne à deux niveaux pour 1600 hommes, Une vaste poudrière, Des locaux pour la préparation des munitions, reliés par voie ferrée au fort Von M. Un abri d’infanterie,Deux batteries terrassées pour cinq pièces chacune, Un emplacement pour deux mortiers lourds, Une batterie cuirassée pour deux tourelles de type "Gruson" pour obusier Krupp de 21 cm. Elle est dotée en plus d’un observatoire d'artillerie cuirassé tournant. Enfin les deux forts sont reliés par une route. Sur cette route a été aménagée, sur certaines sections, une voie ferrée de 60 pour alimenter en munitions les nombreuses pièces d’artillerie à ciel ouvert.
Les Allemands ont prévu, pour l’ensemble du Groupe Fortifié, un armement de 119 pièces de tous calibres. Les différents ouvrages sont alimentés en eau par la station élévatrice de L. Pour l’électricité, le Groupe Fortifié dépend du réseau urbain.
Depuis 1945, ce fort est utilisé comme terrain d'exercices et de manoeuvres au profit des troupes de la garnison de la ville. Aujourd’hui, ce site, bien que faisant toujours partie du domaine militaire, est devenu un parcours de santé.
état actuel : identique
Le fort de PPP
Exploration du 27 octobre 2016
HISTOIRE DU LIEU :
-Réalisé sous le Second Empire, à partir de 1868, le Fort de PPP était conçu pour abriter 1617 hommes, 78 bouches à feu, 55 200 charges, 1 347 000 cartouches et 185 074 kg de poudre à canon et à fusil.
-Fort détaché de la première ceinture fortifiée de la Place de M, il n'est pas terminé à la déclaration de guerre Franco-Allemande de 1870.
-Epargné par les batailles des guerres de 1870, puis de 1914-1918, le fort renforcé par les Allemands entre 1872 et 1898, et dénommé Fort Abl, ne connaitra son baptême du feu qu'à la fin de la Seconde Guerre Mondiale 1939-1945.
-Deux batteries cuirassées dotées chacune de quatre tourelles pour canons de 150, et observatoires blindés, compléteront le fort en 1897-1898.
-Il subira, lors des combats engagés pour la libération de M, entre septembre et décembre 1944,d'intenses bombardements par l'armée américaine.
-Ce fort en assez bon état de conservation a été occupé par les armées françaises jusqu'en 1995.
état actuel : identique
De 2014 à 2018, la team a vu passer différents membres, dont certaines personnes qui ne sont que peu en contact avec Grim. Les guests viennent surtout depuis 2018, permettant certaines explorations de Grim, puisqu'une partie des membres sont sur Metz. De nouveaux membres ont fait leurs apparitions et sont en apprentissage. C'est tout en rappelant qu'un comportement inadéquat peut valeur de révocation de son titre de membre.
Nightclub
Exploration du 19 avril 2017
HISTOIRE DU LIEU : L'incendie s'est produit vers deux heures du matin dans la nuit de jeudi à vendredi 23 novembre 2012. Pas de victimes.Le feu a mobilisé une cinquantaine de sapeurs-pompiers. Les dégâts sont importants et provoquent la mise au chômage technique de onze personnes.
état actuel : avis de reconstruction à l'identique, mais état toujours similaire à la date du 05/06/18
Le manoir du Comte
Exploration du 19 avril 2017 + 15 juin 2019 (LE RETOUR)
HISTOIRE DU LIEU :
Histoire du lieu: Ce que j'ai appris en séjournant sur place: c etait une femme qui vivait seule dedans, alors que le chateau commencait deja a tomber en ruines, elle deceda, l héritier etait alors propriétaire d industries vosgiennes, et devait faire un choix entre injecter l argent dans ses entreprises ou dans le château. Le choix n a donc pas etait en faveur du château, et est a l abandon depuis environ 30 ans. Il y a encore 5/6 ans, le terrain etait encore entretenu, l herbe coupé et les arbres taillés. mais depuis lors, tout est resté a la merci de la nature.
Histoire du lieu: JTG (1796-1843), cet industriel a créé en 1825 dans la commune la première filature mécanique à moteur hydraulique de l'ancien arrondissement. JTG puis sa veuve firent construire, au total, deux filatures et deux tissages. Il était considéré comme l'un des industriels ayant le plus contribué, en France, par la beauté de sa toile qu'il faisait fabriquer, à donner une bonne réputation aux calicots, déjà avantageusement connus dans le commerce. Il fut également maire du village et conseiller général du canton durant ses douze dernières années.
Sa femme (1796-1878) administra l'important groupe textile hérité de son mari. Elle fit édifier de 1854 à 1861 un superbe château de style Louis XV. Elle consacra deux millions de francs de l'époque pour faire bâtir et meubler ce palais de granit et de marbre, malheureusement réduit à l'abandon depuis 1972.
état actuel : identique à la date du 15 juin 2019
Le spot de SYRO
Exploration du 29 avril 2017
HISTOIRE DU LIEU : bâtiment militaire, centre d'entrainement, de mises en conditions Tous les tags sont ceux de SYRO , allez voir sa page, son travail est génial !
ps: Nous n'avons touché à rien
Bientot sur youtube, le premier vlog urbex de la team viking !
état actuel : identique
Le pavillon des roses
Exploration du 29 avril 2017
HISTOIRE DU LIEU :
Ce camp s'inscrit dans la stratégie de la Ligne Maginot, situé en retrait, il poursuit deux objectifs : pourvoir en hommes neufs les équipes des fortifications et recueillir les blessés. Mais l'invasion de la France met le Ligne Maginot hors jeu. L'annexion de la moselle par le Reich remet le site entre les mains de la Wehrmacht en juin 1940. Pendant un cours temps, des prisonniers de guerre français y séjourne, dont le sergent François Mitterand, qui en échappera. A l'automne 1941 jusque 1944, 300 000 prisonniers soviétiques transiteront dans le camp. Les conditions de survie sont précaires : absence de nourriture, ou de soin, qui entraine un taux de mortalité élevé : 204 fosses communes recensées, environ 20 000 victimes. A partir de 1945, la communauté ukrainienne de l'Est de la France s'active pour créer un cimetière décent, tous les ans, une cérémonie du souvenir est organisée. En 1979/80, l'exhumation des corps et transfert vers une nécropole soviétique ont eu lieu : 2879 corps sont exhumés. De 1980 à 2000 le charnier disparaît des esprits, mais à l'aube du XXIe siècle, une usine d'incinération veut s'implanter sur le site, ce qui entraina des révoltes des habitants proches, le projet est abandonné. En juin 2012, une stèle est érigé, marquant une nouvelle ère.
L'opération barbarossa (22/06/1941) propulse la Wehrmacht en Union Soviétique. Les ukrainiens sont aux premières loges, naifs et candides, des centaines de milliers sont fait prisonniers. L'extermination des sous hommes slaves étant programmée, beaucoup sont éliminés sur place, mais l'état major se ravise et les envoie ensuite en Moselle occupée pour les user jusqu'à la corde dans les mines de charbon et de fer. Ils transitent vers le camp qui devient une véritable plate forme de triage où s'opèrent la sélection et l'affectation après l'établissement de leurs documents administratifs. Mais la durée du voyage, la promiscuité dans les wagons et la faim vont hypothéquer leurs chances de survie, d'autant plus qu'au camp, la famine et les épidémies font ravage. Le camp a perdu sa vocation de « cité jardin » où autrefois les épines des roses gardaient le cinéma, le bar et le théatre, celles ci ont étaient remplacées par des fils de fer barbelé, guérites et miradors. Le décor de la déchéance est planté.
De l'automne 41 à celui de 44, un seul leitmotiv : la faim. L'arrivée massive des prisonniers contrarie un approvisionnement aléatoire. Les prisonniers périssent et disparaissent par milliers dans le charnier. Les plus chanceux travaillent dans les fermes environnantes, traités correctement, et surtout, nourris. Tous font du troc, un souvenir de leur vie passée contre du pain, la croix orthodoxe est alors présente partout. Les plaques de matricule se dispersent dans le camp et refont surface aujourd'hui dans les champs. Les américains libèrent le camp le 27 novembre 1944, environ 2000 prisonniers valides sont partis à pied, et 1500 grabataires étaient aussi là. La fin du cauchemar.
La guerre est terminée. Quelques survivants ukrainiens et la communauté s'évertuent à médiatiser le charnier : une commission de civile et de militaire franco soviétique vient sur les lieux le 15 novembre 1945 pour assister à l'ouverture du charnier par des prisonniers de guerre allemands. Les quatre quotidiens régionaux affichent unanimement plus de 20 000 victimes. La communauté ukrainienne aménage à ses frais un cimetière. L'ancien cimetière disparaît alors, et l'oublie tisse sa toile jusqu'en 2000 où le projet industriel vient rallumer la flamme du souvenir, et galvaniser les énergies en vue d'une renaissance : la stèle. Sur place, le camp militaire français tente de revivre : présence d'abord d'un régiment léger, suivent des militaires affectés à la base aérienne de Frescaty, remplacés par des transmetteurs en poste non loin. La délocalisation du régiment de transmission vers une autre ville en 82, sonne la fin de l'occupation militaire du camp, les dernières familles déménagent en 89. Les populations de l'ex URSS découvrent via internet l'existance du camp où leurs ancetres ont péri. Certains viennent sur place faire leur deuil et la terre du charnier est intégrée à la terre des tombes familiales en Ukraine, Russie, Biélorussie …
La fusion s'opère, la mémoire vive a pris le relais.
état actuel : identique
Le sanatorium de la vierge marie
Exploration du 06 mai 2017
HISTOIRE DU LIEU : (tiré du site des hôpitaux de la ville) C'est en octobre 1900, que commencèrent les travaux. L'emplacement choisi était situé à 7 km d'une grande ville. L'initiative de cette opération était due à un Professeur de la Faculté de Médecine, qui pour trouver les ressources nécessaires au financement de son projet, avait fondé une association à buts philanthropiques : l' Œuvre Lorraine d'Assistance aux Tuberculeux. L'édification d'un sanatorium s'explique par le contexte de l'époque. A la fin du XIXe siècle, la tuberculose était encore une maladie redoutable. Malgré la découverte du bacille par Koch en 1882, la médecine restait désarmée. A défaut de médicaments efficaces, tels les antibiotiques, qui ne firent leur apparition que plusieurs dizaines d'années plus tard, les médecins conseillaient à leurs malades, le repos, le grand air et le soleil. C'est pour cette raison que le début de notre siècle vit se construire de nombreux établissements à l'extérieur des villes, de préférence sur des hauteurs afin de jouir d'une parfaite exposition et de fuir l'humidité. Bâti en pleine nature, sur une colline de 250 m d'altitude, il domine la vallée, ses brouillards malsains et ses fumées industrielles. Dans un cadre boisé et verdoyant, il ouvre ses larges baies et offre ses balcons-terrasses aux rayons bienfaisants du soleil. Il accueillit ses premiers malades à partir de 1902. Le don d'une bienfaitrice, permit peu après de l'agrandir et de porter à 50 le nombre de ses lits. A la mort de son fondateur, en 1914, il reçut son nom. La guerre de 1914-1918 vint interrompre son activité normale. Occupé durant les hostilités, il subit de nombreux dégâts. Au lendemain du grand conflit mondial, à la nécessité d’entreprendre des travaux de restauration, vinrent s'ajouter des difficultés financières pour l'Oeuvre Lorraine qui le gérait jusqu'alors. Le fils du fondateur, doyen de la Faculté de Médecine, proposa alors de céder gratuitement l'Etablissement à la Commission Administrative des Hospices de la ville. Celle-ci décida de remettre en état le Sanatorium et de porter sa capacité à 130 lits, ce qu'elle parvint à faire grâce à des subventions du Département et de l'Etat. Le 15 janvier 1924, les travaux enfin terminés, le Sanatorium put ouvrir ses portes et reprendre ses activités, qui se poursuivirent même durant les années difficiles de la seconde guerre mondiale. En 1948, un décret modifia le fonctionnement des sanatoriums. Et bien que toujours propriété des Hospices, le Sanatorium reçut une certaine autonomie après 1952. Il fut confié à un Médecin-Directeur, nommé par le Ministère et assisté d'un Econome, tandis qu'une commission de surveillance de dix membres était instituée pour se substituer à la Commission Administrative. Reconverti en Centre Médical, l'ex-Sanatorium est maintenant à nouveau intégré dans la gestion du Centre Hospitalier Régional et de ce fait géré administrativement comme un établissement annexe. Dans le passé, il existait trois services dans cet Etablissement : - un service de pneumo-phtisiologie - un service d'insuffisants respiratoires - un service d'affections à évolution prolongée. Une restructuration interne aboutira prochainement à une répartition des lits en deux services de 70 lits chacun : - un service de pneumo-phtisiologie - un service hospitalo-universitaire de médecine générale à orientation thoracique. Actuellement, une soixantaine d'agents assurent le fonctionnement de l'Etablissement (2005) Pour conclure, il convient de signaler que le Centre Médical est entouré d'un important verger dont les fruits sont très appréciés par les malades hébergés. De plus, à l'image des établissements hospitaliers d'autrefois, le Centre Médical possède une porcherie d'une trentaine d'animaux. Chaque année y naissent une cinquantaine de porcelets. Quant à l'étable de la ferme, elle abrite depuis peu trois poneys, appartenant à l'Amicale du Personnel, et destinés à faire la joie des enfants des Agents Hospitaliers accueillis au Centre de Loisirs.
état actuel : identique, possibilité de rachat
Bâtiment d'entreprise et sur la route
Exploration du 30 décembre 2017
HISTOIRE DU LIEU : bâtiment d'entreprise ayant un temps appartenu aux Houillères de Lorraine.
Abandonné de manière certaine depuis une dizaine d'années.
état actuel : identique
Les bureaux sans fin
Exploration du 19 janvier 2018
HISTOIRE DU LIEU : bâtiment d'entreprise ayant été abandonné pendant les travaux.
Abandonné de manière certaine depuis minimum 5 ans.
état actuel : identique
L'usine textile
Exploration du 02 mars 2018
HISTOIRE DU LIEU : inconnu
état actuel : identique
La maison médicale
Exploration du 20 mai 2018
HISTOIRE DU LIEU : inconnu
état actuel : identique
La maison étudiante
Exploration du 10 juin 2018
HISTOIRE DU LIEU : Maison d'habitation début 2000, elle fut transformé en maison étudiante, où soirées étudiantes, beuveries et drogues étaient au rendez vous. Encore actif vers 2014, un incendie eu lieu et la maison est à l'abandon depuis
état actuel : identique
La boutique Atlas
Exploration du 10 mars 2019 (oui 2019, dû à des contraintes matériels / temps, l'exploration prévu pour 2018 avait dû être décalée)
HISTOIRE DU LIEU : à l'abandon depuis une dizaine d'années
état actuel : identique
La maison rouge
Exploration du 14 juin 2018
HISTOIRE DU LIEU : Maison d'habitation début 2000, disposant d'un four à pizza et d'une configuration particulière. Panneau autorisation de travaux, sans changement, depuis plusieurs années.
état actuel : identique